Nouveauté
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auteure-illustratrice |
Motion réalisé par Grégoire Mercadé avec Antoine Bibal
« Les matriochkas, poupées de maternité, sont un beau symbole d’amour maternel et de liens entre les générations. Nous sommes liés à nos ancêtres, comme nous sommes liés à nos descendants et nous l’oublions si souvent »
Les Matriochkas de Natacha, au son de la balalaïka, de la guitare et de l’accordéon, pour découvrir la finesse des aquarelles de Noémi Kopp Tanaka, les détails des broderies au point de croix, les fleurs peintes sur un vieux coffre de bois, les dessins géométriques des tapis du Caucase aux couleurs vives, le vert tendre des forêts bouleaux au printemps, la lune voilée dans le gris de la nuit...
pour se laisser prendre au charme de la belle voix de Katia Tchenko qui incarne sans effort une petite fille curieuse et déterminée jouant avec ses poupées et goûter au plaisir des mélodies et des chansons russes.
Coup de ❤ de l'Académie Charles Cros
L’Histoire raconte comment cinq petites poupées de bois jouent un rôle essentiel dans la vie d’une petite fille qui retrouve ses parents le jour de ses 7 ans, à l’arrivée du printemps.
Elle commence comme un jeu et soudain, dans une mystérieuse forêt de bouleaux, devient un conte merveilleux aux motifs traditionnels des contes russes : hiver, corbeau, palais, petite fée du printemps. Et comme toutes les belles histoires, se termine en chansons...
délicatement illustré et vivant, est raconté et chanté sur fonds de musique russe (balalaïka, guitare, accordéon). Il fleure bon la douceur d’autrefois, quand les matriochkas étaient des « petites grands-mères », des babouchkas rassurantes et protectrices, et invite les enfants dans une maison de grands-parents nichée au coeur d’une immense forêt de bouleaux, décorée de tapis du Caucase, ornée de broderies au point de croix et de frises peintes.
et le ton juste d’un souvenir d’enfant, cette tendre histoire de séparation et de retrouvailles inspirée des contes traditionnels russes, donne tout son sens à un jouet russe emblématique qui a fait le tour du monde.
et d’amitié fidèle. Noémi_Kopp-Tanaka est la fille de Béatrice_Tanaka avec qui j'ai entretenu pendant plus de 30 ans une complicité éditoriale et amicale; quand j'ai publié cette histoire pour la première fois en 1989 (collection cassettine), Noémi Kopp-Tanaka attendait son premier enfant ; aujourd’hui elle est à son tour une jeune grand-mère...
Tandis que Katia Tchenko, qui a enregistré ce conte pour sa fille quand elle était encore toute petite... chante aujourd’hui les chansons des Matriochkas de Natacha en berçant son petits-fils...
Lise Bourquin Mercadé, éditeur
Le conte est enregistré en musique avec La chanson de Natacha (sur l’air d’une comptine russe). Puis, La Chanson des Matriochkas, création originale en français sur la mélodie d’une chanson russe (le colporteur), est suivie de trois chansons populaires russes chantées en russe : (chant tsigane), Le Bouleau et la Berceuse cosaque de Lermontov.
Petia Jacquet Pritkoff(balalaïka)
Andreï Chestopaloff (guitare)
Micha Nisinov (accordéon)
au milieu d’une immense forêt de bouleaux, en compagnie de ses chères matriochkas : Matriona, Olga, Sonia, Katia et Natacha.
Elle chante en jouant avec ses petites poupées de bois, qui s’emboitent et se déboitent : Matriona est la mama de la mama de la mama de la petite Natacha…Toute une famille de matriochkas, bien au chaud dans Matriona Babouchka !
Mais pourquoi disparaissent-elles l’une après l’autre ? Qui est ce corbeau qui les emporte dans un mystérieux palais au cœur de la forêt ?
Le jour de son septième anniversaire, qui est aussi le premier jour du printemps, son grand-père, Babouchka, lui révèle le secret de sa naissance : elle retrouve ses parents, qui ont fabriqué ces petites poupées de bois avec tant d’amour et de tendresse, que la petite fée du printemps leur a promis un enfant en échange… Joyeux anniversaire Natacha !
Racontée avec beaucoup de tendresse et de fraîcheur par Katia Tchenko avec une comptine en français sur l’air d’une comptine traditionnelle russe, l’histoire est enregistrée avec les mélodies des chansons populaires russes qu’elle chante de tout son cœur à la fin du récit, accompagnée par trois musiciens : d’abord La Chanson des Matriochkas en français sur une mélodie russe, puis deux chansons et une berceuse chantées en russe. On sent qu’ils ont pris du plaisir à enregistrer ensemble les chansons de leur enfance...